Total : marque employeur

Perception de la marque employeur Total

 

Le groupe pétrolier français est à la fois très connu et méconnu sur un certain nombre de ses métiers. C’est pourquoi il a choisi de mettre en place un baromètre annuel pour mieux travailler auprès de ses écoles et universités cibles partout dans le monde.

 

Avec 8 000 personnes à recruter dont 2 000 en France chaque année, « Total ne peut pas se permettre de stop and go dans le recrutement » explique son Directeur des Relations Écoles, Adrien Béchonnet. La particularité des sites du groupe est bien identifiée : ils sont à l’étranger, dans des endroits parfois difficilement accessibles. Cependant, il ressort de l’étude que nous avons commanditée à Epoka que « les étudiants qui viennent chez nous nous voient majoritairement comme des raffineurs, des industriels, mais ne connaissent pas nos métiers spécifiques », confie Adrien Béchonnet. « Nos métiers emblématiques sont méconnus : nous sommes connus pour nos stations services ou nos raffineries, mais pas pour nos activités d’exploration et de production. Nous avons une notoriété de l’image et du produit, mais nous pouvons faire beaucoup mieux en matière de notoriété de marque employeur » résume Adrien Béchonnet. En témoigne cet exemple marquant : « personne ne croit que le métier d’ingénieur forage est compatible avec le fait d’être une femme ». C’est pourquoi Total veut développer les rencontres avec les étudiants et améliorer sa détection des talents. « Nous sommes présents dans 130 pays, et nous travaillons quotidiennement pour intégrer la diversité à notre démarche de recrutement, car dans le cas contraire, nos pays hôtes ne nous le pardonneraient pas » assure-t-il. 


Des rencontres et de la proximité au cœur du dispositif

Grâce au baromètre établi par Epoka, 3 000 jeunes ont pu être interrogés, à travers les Grandes Écoles et universités cibles de Total. 75% des étudiants sondés connaissent mal ou pas du tout ses métiers. Le pourcentage s’écroule, cependant, chez ceux qui ont déjà participé à une action du pétrolier. « C’est pourquoi nous allons encore intensifier les moments d’échange et de rencontre partout dans le monde dès la première année d’études supérieures et même parfois dès le lycée » analyse Adrien Béchonnet. 

Total ne fait pas exception à la tendance et est confronté à une quête de sens de la part des étudiants. Parmi les moyens de communication les plus efficaces, on retrouve les interventions sous forme de « cours » délivrés par des opérationnels du groupe dans les Grandes Écoles sur les métiers de l’Énergie. « Nous avons organisé une présentation des métiers de l’Énergie dans notre amphithéâtre, nous avons fait salle comble : 360 étudiants étaient présents, et près de 200 autres ont dû être refusés faute de place », témoigne ainsi Adrien Béchonnet. 


Monter et déployer un réseau d’ambassadeurs et de campus managers

Fort des informations de ce baromètre, Adrien Béchonnet compte poursuivre une politique de communication employeur pointue. A ce titre, les ambassadeurs, anciens étudiants des Grandes Écoles, qui font office de porte-paroles du groupe auprès des étudiants, sont des éléments clés pour affiner la perception de la marque employeur. Tout comme le réseau des campus managers testé cette année sous forme de pilote et qui sera déployé dans près d’une dizaine de pays.
 

www.total.fr

 

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